L’investissement de 2 milliards de dollars de Tesla en Inde dépend des réductions de taxes à l’importation de véhicules électriques : rapport

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Le sujet d’un éventuel investissement de Tesla en Inde revient comme un boomerang tous les deux mois. Il est clair que Tesla aimerait entrer en Inde, mais il existe des obstacles commerciaux qui doivent d’abord être levés pour que l’investissement soit viable. De l’autre, le gouvernement indien tente de protéger son marché des produits étrangers très compétitifs.

Selon Temps économique (à travers de Reuters)Tesla est prêt à investir jusqu’à 2 milliards de dollars pour construire une usine en Inde, mais la décision dépend des droits d’importation sur les voitures électriques.

Actuellement, acheter un véhicule électrique importé en Inde coûte cher, car la taxe à l’importation atteint 100 % pour les voitures dont le prix dépasse l’équivalent d’environ 40 000 dollars. Les voitures les moins chères paient une taxe de 70 %.

Selon un rapport récent, la nouvelle proposition consiste en une taxe à l’importation de 15 % sur les véhicules électriques. Si cela est convenu pour au moins 12 000 véhicules (par an, à ce que nous comprenons), Tesla serait prêt à investir 500 millions de dollars en Inde, indique l’article. Si le volume des importations est de 30 000 véhicules, Tesla pourrait alors investir jusqu’à 2 milliards de dollars.

Il n’y a pas de commentaire officiel à ce sujet, mais des sources non officielles indiquent que le gouvernement analyse actuellement la proposition.

Nous sommes très intéressés par le type d’usine que Tesla pourrait construire en Inde. En réalité, deux milliards ne suffisent pas pour une grande usine de voitures électriques, comme à Shanghai, en Allemagne ou au Texas. Il s’agit peut-être d’un site d’assemblage final ou d’un site de production de certains composants.

La taxe à l’importation de 15 % s’appliquerait probablement à tous les fabricants qui décident d’investir en Inde, ce qui permettrait d’assister à davantage d’investissements étrangers à l’avenir. Tata Motors, ainsi que Mahindra et Mahindra, les plus grands constructeurs indiens de véhicules électriques, devront alors rivaliser sur leur propre sol.