La rumeur de fusion avec Renault n’a pas lieu, déclare le patron de Stellantis

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Un journal italien a affirmé ce week-end que les deux hommes complotaient pour unir leurs forces pour faire face à la menace des importations chinoises.

                                                                            
    La rumeur de fusion avec Renault n'a pas lieu, déclare le patron de Stellantis

pour Chris Chilton

il y a 19 secondes

    La rumeur de fusion avec Renault n'a pas lieu, déclare le patron de Stellantis

En Occident, nous aimons plaisanter en disant que la Chine complote pour conquérir le monde, mais à en juger par les articles parus dans la presse italienne le week-end dernier, Stellantis ne manque pas de tendances mégalomanes. Un journal affirme que le géant automobile, qui comprend déjà l’ancien groupe Fiat-Chrysler, PSA et ce qui était autrefois GM Europe, cherche à s’associer à Renault.

L’entreprise qui en résulterait serait colossale et pourrait verrouiller une grande partie du marché automobile, l’idée étant qu’elle permettrait aux sociétés du groupe de réduire leurs coûts, les mettant ainsi dans une meilleure position pour lutter contre le nouvel afflux de véhicules électriques chinois qui commencent à arriver. arriver. Les routes d’Europe. Mais le président de Stellantis, John Elkann, petit-fils de la légendaire figure de proue de Fiat, Gianni Agnelli, a démenti la rumeur et a déclaré qu’elle n’était pas vraie.

« Aucun projet de fusion avec d’autres constructeurs n’est envisagé », a déclaré Elkann dans un communiqué rapporté par Reutersdéclarant que Stellantis restait attaché à ses plans à long terme existants.

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Le président de Stellantis, John Elkann, a démenti la rumeur de fusion

La dernière rumeur de fusion vient de l’italien Le Messager journal, qui écrivait que le gouvernement français, qui est à la fois le premier actionnaire de Renault et qui a également les mains dans le gâteau de Stellantis, étudiait l’idée d’une fusion entre les deux groupes. Mais le PDG de Stellantis, Carlos Tavares, qui a passé des décennies chez Renault, a également récemment fait des commentaires radicaux sur les fusions que certains observateurs du secteur ont interprétés comme des indices d’un syndicat à venir.

Renault s’est affaibli en abandonnant le marché russe et en réduisant ses liens avec Nissan, le faisant passer pour une proie tentante. Mais les analystes Reuters L’entreprise avec laquelle il s’est entretenu ne voyait pas forcément l’intérêt d’une fusion Renault-Stellantis, expliquant qu’elle ne ferait qu’augmenter les surcapacités en Europe.

De plus, ce n’est qu’une partie du problème auquel seraient confrontées les équipes de direction impliquées dans la fusion dont Stellantis jure qu’elle n’aura pas lieu. Un autre est comment appelleraient-ils le géant résultant ?