Récit de voyage de la vallée de l’Outaouais | moto mojo

Récit de voyage de la vallée de l’Outaouais |  moto mojo

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Les hautes terres de l’Ontario constituent le bac à sable idéal pour ces deux chats joueurs.

Chaque année, mon père et moi essayons de faire un voyage en moto ensemble. Court ou long, chaud ou froid ; Cela n’a pas d’importance. Il se trouve que c’est ma personne préférée avec qui voyager, et même si nous vivons à 2 500 miles de là, nous trouvons toujours un moyen de faire en sorte que cela fonctionne. Comme le hasard l’a voulu, nous nous sommes retrouvés ensemble à l’automne en Ontario avec deux nouvelles Triumph Tiger à tester.

Le Tiger 1200 Rally Pro et le Tiger 660 Sport, ou le grand tigre et le petit tigre, nous permettent de découvrir les extrémités opposées du spectre du tigre. J’avais déjà piloté le 1200, mais jamais le 660. L’attente de piloter le 660 était grande : depuis son lancement, j’étais impatient de voir comment le petit Tiger se comporterait. Mon seul reproche, c’était le nom. J’ai eu du mal à l’appeler une Tiger en raison du récent rétablissement du modèle par Triumph en tant que ligne entièrement aventureuse. Mais vous pourriez facilement me convaincre du contraire.

Couleurs d’automne

Quand j’étais enfant, l’automne était ma saison préférée : l’air frais et les couleurs infinies m’inspiraient. Il nous a semblé approprié que, pour ce voyage, nous parcourions des milliers d’acres de la palette la plus colorée de l’automne, qui contient également certaines des meilleures zones cyclables de l’Ontario : les hautes terres de l’est d’Haliburton et la vallée de l’Outaouais. Nous sommes sortis pendant trois jours pour revivre la joie de l’enfance.

En Colombie-Britannique, nous avons très peu de changement de couleur et bien que les mélèzes jaune vif soient spectaculaires, rien n’est comparable à la mer d’arbres à feuilles caduques qui se transforment en une variété de couleurs une fois l’automne arrivé et le temps se refroidit.

Un autre avantage de la région est que ces lieux constituent un creuset d’histoire riche et de culture diversifiée au Canada. Souvent négligé, mais chaque petite ville ou arrêt de route dans les hautes terres de l’Ontario offre un aperçu unique des fondations sur lesquelles une grande partie du Canada moderne a été construite.

La carte la plus importante

Nous avons sorti la carte Ride The Highlands, spécialement conçue pour les voyages en moto, et examiné les itinéraires et les sentiers qui nous intriguaient, que nous avons jugés uniquement par le nombre de gribouillis que nous pouvions compter. Nous savions que la carte touristique des hautes terres était une excellente ressource car nous l’avions utilisée plusieurs fois auparavant et la trouvions particulièrement utile pour un rapide voyage en moto.

Nous avons quitté le travail tôt et nous sommes dirigés vers le nord, en direction de Gooderham, puis de Barry’s Bay. Nous nous sommes rapidement retrouvés sur Elephant Lake Road et Peterson Road (l’une des attractions mises en évidence sur la carte), une route sinueuse et sinueuse qui, malgré un trafic apparemment interminable, dans les rares cas sans voiture, m’a également fait sourire.

Papa a décidé que ce serait le bon moment pour utiliser son GPS, car il n’avait que peu d’utilité avant ce voyage. J’ai toujours eu des problèmes avec le manque de concentration lié à l’utilisation d’un GPS. Heureusement, en quelques heures, la batterie est morte sans être branchée et nous avons dû explorer les routes comme elles étaient censées l’être : à l’aide d’une carte.

Le facteur doodle gagne encore

Nous avons exploré trois sentiers qui nous mèneraient à Barry’s Bay. En nous basant sur le facteur gribouillage, nous avons opté pour Old Barry’s Bay Road et non pour Old Barry’s Bay Road.

Quelques pépites d’un autre temps: