BYD est le premier constructeur automobile chinois à fabriquer en Europe |

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BYD sera le premier constructeur automobile chinois à avoir une présence industrielle en Europe. Considéré comme l’un des marchés automobiles les plus compétitifs, BYD a annoncé le lancement de la construction d’un nouveau centre de fabrication et de production à Szeged, en Hongrie.

Aucune capacité de production ni calendrier concret n’ont été indiqués, mais le premier fabricant mondial de véhicules à énergies nouvelles (NEV) a déclaré que la nouvelle usine comporterait une « ligne de production automobile avancée ».

Située au cœur de l’Europe, la Hongrie a été choisie car elle constitue une plaque tournante de transport essentielle et possède une riche histoire d’expérience dans l’industrie automobile. Dotée d’une infrastructure mature et d’une base industrielle bien établie, la Hongrie abrite également d’autres constructeurs européens en tant que site de production de voitures particulières, notamment Suzuki, Audi, Mercedes-Benz et BMW.

Bien que BYD ait déclaré que cette décision stimulerait l’emploi et l’économie locale, elle serait également très bénéfique pour le constructeur automobile chinois. Cette décision les aidera également à éviter les droits d’importation résultant de l’enquête antisubventions de l’Union européenne sur les véhicules électriques chinois.

BYD, avec SAIC et Zhejiang Geely Holding Group, sont devenus le centre de la recherche européenne. L’UE estime que les prix des véhicules chinois, en particulier des véhicules électriques, sont artificiellement bas en raison des énormes subventions publiques. L’Europe est la plus grande région exportatrice de véhicules électriques pour la Chine, ayant reçu plus de 600 000 véhicules en novembre de cette année.

Actuellement, BYD a ouvert ses portes dans 19 pays en Europe et a présenté cinq modèles : Han, Tang, Atto 3, Seal et Dolphin. Il prévoit d’ajouter trois modèles supplémentaires au cours des 12 prochains mois, dont le Seal U (voir photo principale).

BYD vise à détenir une part de marché de 10 % en Europe d’ici la fin de la décennie.